Le zombie prend la rue: revendications d’un monstre (ré)humanisé
Dans la production romérienne et plusieurs autres fictions zombiesques, le mort-vivant incarne le danger, l’abject inquiétant que les vivants cherchent à fuir absolument. D’êtres grégaires, ces derniers en viennent souvent à considérer la violence et la barbarie comme unique modalité de la (sur) vie...
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Format: | Buchkapitel |
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Zusammenfassung: | Dans la production romérienne et plusieurs autres fictions zombiesques, le mort-vivant incarne le danger, l’abject inquiétant que les vivants cherchent à fuir absolument. D’êtres grégaires, ces derniers en viennent souvent à considérer la violence et la barbarie comme unique modalité de la (sur) vie en contexte post-apocalyptique. Ainsi, l’homme semble parfois plus monstrueux que le mort-vivant, qu’on pense à la bande de motards deDawn of the Dead(George A. Romero, 1978), aux soldats violeurs de28 Days Later(Danny Boyle, 2002) ou à la famille cannibale du jeuThe Walking Dead(Telltale Games, 2012). Si l’homme peut rapidement se |
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DOI: | 10.1515/9782760633841-009 |