Teen Sexuality: Reaching Out in the Malls

Background: Existing sexual health programs have not significantly reduced teen pregnancies or sexually transmitted diseases. A more creative approach is needed. Methods: An assessment of 539 teens in one Ontario city was conducted to identify knowledge about and use of birth control, comfort in dis...

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Veröffentlicht in:Canadian journal of public health 2002-01, Vol.93 (1), p.47-51
Hauptverfasser: Evans, Sheila J., Wright, Bonnie L., Goodbrand, Lauren, Kilbreath, Jeff P., Young, Jennifer
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Background: Existing sexual health programs have not significantly reduced teen pregnancies or sexually transmitted diseases. A more creative approach is needed. Methods: An assessment of 539 teens in one Ontario city was conducted to identify knowledge about and use of birth control, comfort in discussing sexual health, and preferred sites, providers and methods of service delivery. Results: Knowledge of, and comfort discussing, birth control was not associated with frequency of use but was associated with grade. Adolescents were less comfortable discussing sexual health with teachers than health professionals. Over time, comfort increased with health professionals, but not teachers. Sexually active teens reported willingness to attend mall-based clinics. Conclusions: Using birth control appears to be maturational given its association with grade. Since teens were consistently less comfortable with teachers, providing sexual health services in schools is likely ineffective. Teens may respond to clinics in creative settings such as malls. Contexte : Les programmes de santé sexuelle existants n'ont pas réduit de façon importante la grossesse chez les adolescentes et les maladies transmises sexuellement, d'où la nécessité de trouver des approches novatrices. Méthode : Nous avons sondé 539 adolescents d'une ville ontarienne pour déterminer leurs connaissances et leur emploi des méthodes anticonceptionnelles, leur aisance à parler de santé sexuelle et leurs préférences quant aux lieux où obtenir des services de santé sexuelle, aux prestateurs de ces services et aux méthodes de prestation. Résultats : Les connaissances et l'aisance n'étaient pas associées à la fréquence d'utilisation des méthodes anticonceptionnelles, mais au niveau de scolarité. Les adolescents étaient moins enclins à discuter de santé sexuelle avec des enseignants qu'avec des professionnels de la santé. Ils devenaient graduellement plus à l'aise avec les professionnels de la santé, mais pas avec les enseignants. Les adolescents actifs sexuellement étaient disposés à visiter des cliniques de centres commerciaux. Conclusions : L'emploi des méthodes anticonceptionnelles étant associé au niveau de scolarité, il pourrait être lié à la maturation. Comme les adolescents sont uniformément moins à l'aise avec les enseignants, il n'est sans doute pas efficace d'offrir des services de santé sexuelle à l'école. Il serait préférable de créer des cliniques dans des endroits moins conventionnels, comme les
ISSN:0008-4263
1920-7476
DOI:10.1007/bf03404417