Traditional medicine for the rich and knowledgeable: challenging assumptions about treatment-seeking behaviour in rural and peri-urban Nepal

Traditional medicine is commonly assumed to be a crucial health care option for poor households in developing countries. However, little research has been done in Asia to quantify the reliance on traditional medicine and its determinants. This research contributes to filling in this knowledge gap us...

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Veröffentlicht in:Health policy and planning 2016-04, Vol.31 (3), p.314-324
Hauptverfasser: Thorsen, Rikke Stamp, Pouliot, Mariève
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Traditional medicine is commonly assumed to be a crucial health care option for poor households in developing countries. However, little research has been done in Asia to quantify the reliance on traditional medicine and its determinants. This research contributes to filling in this knowledge gap using household survey data collected from 571 households in three rural and peri-urban sites in Nepal in 2012. Questions encompassed household socioeconomic characteristics, illness characteristics, and treatment-seeking behaviour. Treatment choice was investigated through bivariate analyses. Results show that traditional medicine, and especially self-treatment with medicinal plants, prevail as treatment options in both rural and peri-urban populations. Contrarily to what is commonly assumed, high income is an important determinant of use of traditional medicine. Likewise, knowledge of medicinal plants, age, education, gender and illness chronicity were also significant determinants. The importance of self-treatment with medicinal plants should inform the development of health policy tailored to people’s treatment-seeking behaviour. On estime généralement que la médecine traditionnelle est une option de soins de santé essentiels pour les ménages pauvres des pays en développement. Cependant, peu de recherches ont été effectuées en Asie pour quantifier le recours à la médecine traditionnelle ainsi que ses déterminants. La présente recherche est une contribution visant à combler cette lacune à partir de données d’enquête recueillies en 2012 auprès de 571 ménages, dans trois sites ruraux et périurbains du Népal. Le questionnaire englobait les caractéristiques socioéconomiques des ménages, les caractéristiques des pathologies, ainsi que le comportement de recherche d’un traitement. On a été étudié le choix du traitement par le biais d’analyses bivariées. Les résultats montrent que la médecine traditionnelle, et surtout l’automédication avec des plantes médicinales, sont les deux options de traitement qui prévalent au sein des populations rurales et périurbaines. Contrairement à ce qu’on pense habituellement, le revenu élevé est un déterminant important dans le recours à la médecine traditionnelle. De même, la connaissance des plantes médicinales, l’âge, l’éducation, le sexe et la chronicité de la maladie sont également d’importants déterminants. L’importance de l’auto-médication avec des plantes médicinales devrait orienter l’élaboration d’une politique de santé adapt
ISSN:0268-1080
1460-2237
DOI:10.1093/heapol/czv060