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Cependant, les chercheurs de l'Institut national de sant? publique du Qu?bec (INSPQ) estiment que les niveaux ne sont ni nouveaux ni alarmants, mais ils proposent que les gouvernements, les producteurs et les compagnies d'aliments en fassent davantage pour surveiller la situation et augmenter la transparence des conclusions de surveillance. "Les conclusions ne justifient pas la limitation de la consommation des fruits et l?gumes, r?put?s pour leurs vertus sur la sant?", stipule le rapport pouvant ?tre consult? sut le site Internet de l'organisme (www.inspq.qc.ca) depuis le d?but de f?vrier. "Mais la prudence est de mise pour continuer de limiter la pr?sence de ces produits dans les aliments." Ce financement suppl?mentaire permettra au syst?me d'?tre automatis? et d'int?grer de nouvelles applications de validation du syst?me pour r?aliser la tra?abilit? mixte, ce qui peut ?tre crucial advenant un probl?me de sant? animale ou une urgence de s?curit? alimentaire. "Le gouvernement Harper reconna?t l'importance d'un syst?me national de tra?abilit? du b?tail et l'expertise d?velopp?e par Agri-Tra?abilit? Qu?bec dans ce domaine", a d?clar? l'honorable Jean-Pierre Blackburn, ministre des Anciens combattants et ministre d'?tat, Agriculrure. "[Les] producteurs canadiens pourront b?n?ficier de ce type de projet innovateur, notamment par l'automatisation des v?rifications et de l'acc?s ? de nouveaux march?s." D?butant ce mois-ci et jusqu'au 16 octobre, le Mus?e d'arch?ologie de Montr?al Pointe-?-Calli?re pr?senre ? ta sant? C?sar! Le vin chez les Gaulois. L'exposition, constitu?e d'objets en provenance de collections priv?es et d'institutions notoires de France et d'Am?rique du Nord, remonte dans l'histoire vinicole depuis ses origines en Gaule (la France actuelle).