Hydrostatic pressures in proximal tubules and peritubule capillaries in the dog

Hydrostatic pressures in proximal tubules and peritubule capillaries in the dog. Pressures in proximal tubules and peritubule capillaries were measured in the dog with a servo-nulling device. Proximal tubule pressure was consistently higher than peritubule capillary pressure; the average gradient of 8.2 ± 1.5 mm Hg was significant, P< 0.001. Increases in ureteral and renal venous pressures resulted in parallel increases in both tubule and capillary pressures. There was no significant difference between the effects of increased ureteral and renal venous pressures. In general these findings are similar to data for the rat but differ in that tubule and capillary pressures in the dog were increased by increments of ureteral pressure that did not exceed pre-existing tubule pressure. In addition, increases in renal venous pressure did not significantly reduce the tubule-capillary pressure gradient as has been reported for the rat. Pression hydrostatique dans les tubes proximaux et les capillaires péritubulaires chez le chien. Les pressions dans les tubes proximaux et les capillaires péritubulaires ont été mesurées chez le chien à l'aide d'un systéme asservi. La pression dans le tube proximal était supérieure à celle dans le capillaire péritubulaire; le gradient moyen de 8.2 ±1.5 mm Hg était significatif, P< 0.001. Des augmentations des pressions urétérale et veineuse rénale déterminaient des augmentations parallèles à la fois des pressions tubulaires et capillaires. Il n'y avait pas de différence significative entre les conséquences de l'augmentation de pression urétérale et de celle de la veine rénale. Globalement ces constatations sont semblables à celles obtenues chez le rat mais elles en différent en ce que les pressions tubulaires et capillaires chez le chien étaient augmentées par un accroissement de la pression urétérale qui n'excédait pas la pression tubulaire pré-existante. De plus, l'augmentation de la pression veineuse rénale n'a pas diminué significativement le gradient de pression tubule–capillaire comme cela a été constaté chez le rat.