The association between punitive childhood experiences and hyperactivity

This study compared the abuse histories and home environments of adult males who had been referred for Attention Deficit-Hyperactivity Disorder (ADHD) with that of their nonADHD siblings. Probands and brothers did not differ in their reporting of physical punishment, discipline, parental rejection, or positive parental contact, nor did they differ in their perception of the general atmosphere of their home environments. These findings were generally replicated in a larger sample of ADHD probands, nonADHD brothers and a group of classmate controls. In addition, the relation between severity of hyperactive and aggressive symptoms and degree of abuse was examined within an ADHD sample. Neither the degree of hyperactive symptoms, the degree of aggressive symptoms, nor the interaction of the two was associated with the amount of physical punishment reported. These data challenge the “scapegoat” or “target child” hypothesis prevalent in the child abuse literature by suggesting that punitive parenting may not be significantly controlled by the behavioral characteristics of ADHD children. Cette étude a comparé deux groupes de frères adultes: les uns souffrant d'hyperactivité et de manque de concentration et les autres épargnés. Leurs antécédents de maltraitance et leur milieu familial ont été évalués pour en conclure que les deux groupes sont semblables par rapport à ce qu'ils relatent de leur passé, soit les punitions corporelles, la discipline, le rejet parental et le contact favorable avec les parents. Non plus se distinguent-ils dans la façon dont ils perçoivent leur milieu familial. On retrouve ces mèemes constats dans des études ayant recours à des échantillons plus considérables et dans celles utilisant des groupes contrôles. De plus, à partir d'un échantillon de personnes hyperactives, on a étudié la relation entre la gravité de l'hyperactivité/symptômes d'agressivité et le niveau de maltraitance. Ni les symptômes agressifs, ni les symptômes hyperactifs, ni même leur interaction mutuelle démontrent des liens avec la maltraitance. Ces données nous portent donc à questionner l'hypothèse de “l'enfant bouc—émissaire” ou “l'enfant-cible,” laquelle figure dans les écrits sur la maltraitance. Ces données suggèrent plutôt que la tendance parentale è vouloir punir ne semble pas être provoquée par le comportement hyperactif. Este estudio comparó las historias de abuso y el ambiente de hogar de adultos varones quienes habían sido referidos por Desorden de Hiperactivi