Prevalence of virulence markers of enteric Campylobacter in France and Tunisia

Forty-nine strains of Campylobacter jejuni and C. coli were isolated from the stools of 49 patients clinically documented for diarrhoea and fever, and living either in the Paris metropolitan area (30) or in the Tunis area (19). The strains were identified biotyped, serotyped and studied for associat...

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Veröffentlicht in:Research in microbiology 1991-06, Vol.142 (5), p.591-596
Hauptverfasser: Fendri, C, Rosenau, A, Moyen, E.N, Fauchère, J.L
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Forty-nine strains of Campylobacter jejuni and C. coli were isolated from the stools of 49 patients clinically documented for diarrhoea and fever, and living either in the Paris metropolitan area (30) or in the Tunis area (19). The strains were identified biotyped, serotyped and studied for association with HeLa cells and the ability to elongate Chinese ovary cells (CHO). The C. jejuni biotype I was more frequent among Tunisian strains and the C. jejuni biotype II was more frequent among French strains. Twenty-four strains associated with HeLa cells (A phenotype) and 21 elongated CHO (E phenotype). These 2 phenotypes were independently distributed in individual strains and were not related to the biotypes. We defined 4 pathovars according to the presence (A and E) or absence (a and e) of these 2 markers. The prevalence of the 4 pathovars was not correlated with the origin of the strain. The lack of a virulence marker (phenotype a/e) was correlated with the lack of clinical signs of diarrhoea and fever (p = 4 × 10 −5). We concluded that at least 1 of the 2 in vitro virulence markers is related to the pathogenicity of the strains in the humans. Quarante-neuf souches de Campylobacter jejuni et de C. coli ont été isolées des selles de 49 patients qui présentaient ou non une diarrhée, fébrile ou non. Ces patients vivaient soit dans la région parisienne (30), soit dans la région de Tunis (19). Les souches ont été identifiées, biotypées et sérotypées. Deux marqueurs du pouvoir pathogène ont été déterminés pour chaque souche: association aux cellules HeLa et pouvoir d'elongation des cellules ovariennes de Hamster chinois (CHO). Le biotype I de C. jejuni est plus fréquent en Tunisie et le biotype II plus fréquent en France. Vingt-quatre souches s'associent aux cellules HeLa (phénotype A) et 21 allongent les CHO (phénotype E). Ces 2 phénotypes sont distribués indépendamment sur chacune des souches et leur présence n'ex pas corrélée avec le biotype. Nous avons défini 4 pathovars selon la présence (A ou E) ou l'absence (a ou e) de chacun de ces 2 marqueurs. La prévalence de ces pathovars n'est pas corrélée avec l'origine de la souche. L'absence des 2 marqueurs (pathovar a/e) est corrélée à une absence de diarrhée et de fiévre (p = 4 × 10 −5). En conclusion, la présence de l'un au moins de ces marqueurs de virulence étudiés pent permettre de prédire qu'une souche est ou non pathogène chez l'homme.
ISSN:0923-2508
1769-7123
DOI:10.1016/0923-2508(91)90192-D