Genetic signs of connectivity in Primula vulgaris ( Primulaceae) in a hedgerow network landscape

The effects of landscape configuration on the genetic connectivity of the heterostylous species Primula vulgaris Huds. ( Primulaceae) were studied using AFLP markers. Isolation by distance pattern was shown by spatial autocorrelation analysis; moreover, hedgerow network distances were found to contr...

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Veröffentlicht in:Comptes Rendus Biologies 2009-07, Vol.332 (7), p.652-661
Hauptverfasser: Campagne, Pascal, Baumel, Alex, Affre, Laurence, Juin, Marianick, Duong, Nathalie, Roche, Philip, Tatoni, Thierry
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:The effects of landscape configuration on the genetic connectivity of the heterostylous species Primula vulgaris Huds. ( Primulaceae) were studied using AFLP markers. Isolation by distance pattern was shown by spatial autocorrelation analysis; moreover, hedgerow network distances were found to contribute less than Euclidian distances to spatial genetic structure. Pollen flow is probably the main factor shaping the spatial genetic structure rather than seed dispersal, which is limited in this myrmecochorous species. Detailed analysis on the genetic similarity between neighborhoods and differentiation rates showed that density of hedgerow networks impede gene flow. We therefore concluded that a high degree of habitat contiguity does not necessarily promote genetic connectivity. To cite this article: P. Campagne et al., C. R. Biologies 332 (2009). Les effets de la structure du paysage sur la connectivité génétique de l'espèce hétérostyle Primula vulgaris Huds. (Primulacée) ont été étudiés à l'aide de marqueurs AFLP. Un isolement par la distance est mis en évidence par une analyse d'autocorrélation spatiale, de plus les distances par le réseau de haies contribuent moins que les distances euclidiennes à la structure spatiale de la diversité génétique. Les flux de pollen semblent être le facteur déterminant de la structure génétique spatiale mise en évidence, plus que la dispersion par les graines, qui est limitée chez cette espèce myrmécochore. Des analyses détaillées de la similarité et de la différenciation génétiques basées sur la structure de voisinage montrent que la densité du réseau de haies limite les flux de gènes. Ainsi, une forte contigüité d'habitat n'est pas nécessairement synonyme de connectivité génétique. Pour citer cet article : P. Campagne et al., C. R. Biologies 332 (2009).
ISSN:1631-0691
1768-3238
1768-3238
DOI:10.1016/j.crvi.2009.03.005