Phonetic variation in dysarthric speech as a function of sampling task

Previous studies have demonstrated a number of ways in which normal speakers' phonetic performance varies across reading and spontaneous speech tasks. This study set out to investigate whether similar differences across speech sampling tasks were found in a mixed group of dysarthric subjects. A selection of segmental and prosodic parameters were investigated acoustically in the performance of five mild dysarthric speakers and five matched control subjects. The results demonstrated that breath-pause position, unstressed vowel duration and voice-onset time were subject to variation across sampling task in the speech produced by different types of dysarthric speaker. The results suggest that read material produced by dysarthric speakers may not be wholly representative of those speakers' spontaneous speech. Preliminary implications for clinical practice are discussed. The findings point to the need for further research to investigate the extent of such differences and their implications for dysarthria assessment, which up to the present has relied predominantly on read material. Des études précédentes ont démontré que la performance phonétique du locuteur normal peut varier d'un certain nombre de façons selon qu'il est amené à lire ou à s'exprimer spontanément. Cette étude a cherché à determiner si Von pouvait trouver des différences analogues chez un groupe mixte de sujets dysarthriques lors de différentes ta ches d'échantillonnages de la parole. L'on a fait l'analyse acoustique d'un choix de paramètres segmentaux et prosodiques récoltés chez cinq locuteurs souffrant de dysarthrie légère et cinq sujets de contrôle appariés. Les résultats montrent que dans le langage produit par différents types de locuteurs dysarthriques l'on pouvait observer des variations chez selon les types de ta ches linguistiques dans la position de la pause d'inhalation, la durée des voyelles atones et le délai de voisement après les occlusives sourdes. Ces résultats suggérent que la lecture à haute voix chez les locuteurs dysarthriques n'est peut- tre pas entiérement représentative de la parole spontanée chez ces m mes locuteurs. La discussion porte sur la portée préliminaire de ces résultats pour la pratique clinique. lis montrent la nécessité de faire des recherches ultérieures en vue d'examiner l'importance de ces différences et leurs conséquences pour le traitement de la dysarthrie quijusqu'ici a reposé principalement sur la lecture de textes écrits. Frühere Studien haben demonst