Unions as social capital: the impact of trade union youth programmes on young workers' political and community engagement

Jarley (2005) recently proposed a model of social capital unionism that contends that unions should strive to recreate the dense communities of the past by systematically creating social networks among workers. Underlying this approach is the notion that sustained personal contacts with members are necessary to generate the generalised reciprocity norms that mobilise workers in times of need and sustain unions in periods of relative calm. This paper describes one union's attempt at social capital building among their young members. We also report on survey results that suggest that building social capital is challenging but potentially rewarding as dense social networks are correlated with union knowledge which in turn is correlated with increased union participation as well as community and political engagement. Jarley (2005) a récemment proposé un modèle de syndicalisme comme capital social qui soutient que les syndicats devraient s'efforcer de recréer les communautés denses du passé en créant systématiquement des réseaux sociaux parmi les travailleurs. Sous-jacente à cette approche, il y a la notion de la nécessité de contacts personnels soutenus avec les affiliés afin de générer des normes généralisés de réciprocité qui mobilisent les travailleurs en cas de nécessité et qui soutiennent les syndicats en périodes relativement calmes. Cet article décrit la tentative d'un syndicat de créer un capital social parmi ses jeunes adhérents. Les auteurs donnent également un aperçu des résultats d'enquêtes qui donnent à penser que la création de capital social représente un défi mais est potentiellement rentable puisque les réseaux sociaux denses sont liés aux connaissances des syndicats qui sont à leur tour associées à une participation syndicale croissante ainsi qu'à un engagement communautaire et politique. Paul Jarley hat in einem neueren Beitrag (2005) ein Modell der Gewerkschaftsbewegung vorgeschlagen, das auf dem Aufbau von Sozialkapital beruht. Dieses Modell geht davon aus, dass Gewerkschaften anstreben sollten, durch die Schaffung sozialer Netzwerke zwischen Arbeitnehmern die engen Gemeinschaftsbeziehungen der Vergangenheit wiederherzustellen. Die Grundlage bildet das Konzept, dass fortwährende persönliche Kontakte mit den Mitgliedern notwendig sind, um generalisierte Reziprozitätsnormen zu erzeugen, welche die Arbeitnehmer in Notzeiten mobilisieren und die Gewerkschaften in Zeiten relativer Ruhe stützen. Der vorliegende Beitrag beschreibt den Versuch ein