Experience Rating, Work Injuries and Benefit Costs: Some New Evidence

In 1986, British Columbia’s Workers’ Compensation Board introduced an experience rating program that provided a modest financial incentive for employers to reduce the costs of claims. Using a comprehensive panel data set, we find that claims frequency for health care only and short-term disability c...

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Veröffentlicht in:Relations industrielles (Québec, Québec) Québec), 2006, Vol.61 (1), p.118-145
Hauptverfasser: Campolieti, Michele, Hyatt, Douglas, Thomason, Terry
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:In 1986, British Columbia’s Workers’ Compensation Board introduced an experience rating program that provided a modest financial incentive for employers to reduce the costs of claims. Using a comprehensive panel data set, we find that claims frequency for health care only and short-term disability claims was reduced following the introduction of experience rating. The introduction of the program did not affect costs for most claim types, except for health care only claims. L’indemnisation des travailleurs victimes d’une maladie professionnelle ou d’un accident du travail est un régime d’assurance sociale qui couvre les soins médicaux, la réhabilitation professionnelle et les prestations en espèces. Elle prévoit également des prestations en espèces pour les familles des travailleurs décédés au travail. Semblables à d’autres programmes gouvernementaux d’assurance sociale, ces prestations sont financées par une taxe prélevée sur la liste de paie de l’employeur. Cependant, contrairement à d’autres programmes, le taux retenu varie d’un employeur à l’autre en fonction étroite des coûts encourus par les réclamations. L’appréciation du taux de cotisation des employeurs à l’assurance obéit à un processus qui se déroule en deux étapes. D’abord, l’entreprise est placée dans un taux de groupe, qui reflète les risques sous-jacents d’accident, de sorte que les entreprises qui présentent des risques semblables sont cotisées selon le taux d’un même groupe. Les taux de groupes sont habituellement basés sur le secteur industriel, reflétant ainsi la croyance à l’effet que les salariés d’un même secteur sont exposés aux mêmes risques. Un taux de « base » ou « manuel » est établi pour chaque groupe selon l’historique des réclamations collectives de toutes les entreprises qui appartiennent à ce groupe. Plus précisément, le taux « plancher » est fonction de l’historique des coûts des réclamations récentes de l’ensemble du secteur. Ensuite, le taux de base se voit modifié selon l’historique d’accident d’une entreprise particulière. Les entreprises qui présentent une « situation désastreuse » vont payer un taux proportionnellement plus élevé que le taux plancher, alors que les entreprises qui présentent un dossier favorable vont payer un taux plus bas. Ces ajustements renvoient à ce qui est connu sous l’expression de tarification par incidence et on les retrouve couramment dans bien des régimes d’assurance. En associant plus étroitement les évaluations de prime aux coûts des récla
ISSN:0034-379X
1703-8138
DOI:10.7202/013723ar