Trapeziometacarpal prostheses

In 1970, Jean-Yves de la Caffinière developed the first trapeziometacarpal (TMC) joint prosthesis, a ball-and-socket design based on hip replacement implants. From 1970 to 1990, the first generation of cemented prostheses was developed. At that time, trapeziectomy, with tendon interposition or suspe...

Ausführliche Beschreibung

Gespeichert in:
Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Hand surgery and rehabilitation 2021-09, Vol.40, p.S106-S116
Hauptverfasser: Teissier, J., Teissier, P., Toffoli, A.
Format: Artikel
Sprache:eng
Schlagworte:
Online-Zugang:Volltext
Tags: Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
Beschreibung
Zusammenfassung:In 1970, Jean-Yves de la Caffinière developed the first trapeziometacarpal (TMC) joint prosthesis, a ball-and-socket design based on hip replacement implants. From 1970 to 1990, the first generation of cemented prostheses was developed. At that time, trapeziectomy, with tendon interposition or suspension arthroplasty, and Swanson silastic spacers remained the most widely used surgical procedures for thumb basal joint arthritis. From 1990 to 2010, a second generation of cementless prostheses was developed. The third generation was introduced after 2010 and consisted of dual mobility prostheses. In 2020, TMC arthroplasty (simple or dual mobility) is a reliable option in thumb basal joint arthritis with an implant survival rate of 90% at 10 years of follow-up, while providing pain relief and restoring strength and mobility. Restoration of the thumb’s length corrects most thumb Z-deformities, so the TMC joint prosthesis may be a viable alternative surgical solution to trapeziectomy, which remains the gold standard in English-speaking countries. Moreover, trapeziectomy after failed TMC arthroplasty provides outcomes equivalent to those of primary trapeziectomy. En 1970, Jean-Yves de la Caffinière développa la première prothèse trapézo-métacarpienne selon le modèle d'une mini-prothèse de hanche. De 1970 à 1990 furent développées les prothèses de première génération, toutes cimentées. À cette époque, le traitement chirurgical de la rhizarthrose était dominé par la trapézectomie et les implants trapéziens de Swanson en silicone. De 1990 à 2010 furent développées les prothèses trapézo-métacarpiennes de 2ème génération sans ciment. Après 2010, apparurent les prothèses de 3ème génération avec l'introduction de la double mobilité. En 2020, la prothèse TMC simple et double mobilité est une option fiable dans le traitement de la rhizarthrose avec une survie des implants de 90 % à 10 ans de recul. La prothèse restaure l'indolence et la force et conserve la longueur du pouce. Elle permet également de corriger assez aisément la déformation en Z. Avec tous ces atouts, la prothèse TMC est un choix grandissant en Europe pour le traitement de la rhizarthrose ; la trapézectomie reste cependant la solution préférée dans les pays anglo-saxons. Pourtant, en cas de résultat insuffisant après une arthroplastie, la trapézectomie reste une solution possible alors que l'inverse n'est pas vrai.
ISSN:2468-1229
2468-1210
DOI:10.1016/j.hansur.2020.09.013