Short-term survival and long-term mortality of Acacia drepanolobium after a controlled burn

We investigated the short‐ and long‐term effects of a controlled burn in Acacia drepanolobium woodland in Laikipia, Kenya in 1998. Fire temperatures averaged 250°C at ground level, with a maximum of over 500°C, but were rarely >100°C at 1.5 m above the ground or more. Nine months after the fire,...

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Veröffentlicht in:African journal of ecology 2008-09, Vol.46 (3), p.395-401
Hauptverfasser: Okello, B. D., Young, T. P., Riginos, C., Kelly, D., O'Connor, T. G.
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:We investigated the short‐ and long‐term effects of a controlled burn in Acacia drepanolobium woodland in Laikipia, Kenya in 1998. Fire temperatures averaged 250°C at ground level, with a maximum of over 500°C, but were rarely >100°C at 1.5 m above the ground or more. Nine months after the fire, virtually all A. drepanolobium trees had survived the fire. Some smaller trees were burnt to ground level, but most were only ‘top‐killed’ and had coppiced. Taller trees suffered less damage than smaller trees. However, a 2003 satellite image suggested a dramatic reduction in A. drepanolobium canopy cover at the site. A survey of the site in 2006 revealed that the density of larger A. drepanolobium trees was nearly three times greater in adjacent control areas than in the old burn, with a lesser reduction in the density of smaller trees. These data suggest that short‐term measures of postburn survivorship may be deceptive, and that an additional source of tree mortality (perhaps elephants) was concentrated on trees in burned areas, even many months after the burn, with long‐term consequences for tree and ecosystem dynamics. Résumé Nous avons étudié les effets à court et à long terme d’un feu contrôlé dans la forêt àAcacia drepanolobium située à Laikipia, au Kenya, en 1998. La température du feu avoisinait les 250°C au niveau du sol, avec un maximum de 500°C, mais elle dépassait rarement les 100°C à 1,5 mètre au‐dessus du sol et plus haut. Neuf mois après le feu, pratiquement tous les Acacia drepanolobium avaient survécu. Certains des arbres plus petits avaient brûlé jusqu’au ras du sol, mais chez la plupart, seule la partie aérienne avait brûlé et ils avaient fait des repousses. Les arbres plus grands avaient subi moins de dommages. Pourtant, une image satellite prise en 2003 a suggéré une réduction spectaculaire de la canopée d’A. drepanolobiumà cet endroit. Une étude du site réalisée en 2006 a révélé que la densité des plus grands A. drepanolobiumétait près de trois fois plus forte dans les zones de contrôle adjacentes que sur le site brûlé, où la densité des plus petits arbres était moins réduite. Ces données suggèrent que les mesures de la survie postincendie faites à court terme peuvent être trompeuses, et qu’une source supplémentaire de mortalité des arbres (peut‐être des éléphants) s’est concentrée sur les arbres des zones brûlées, même plusieurs mois plus tard, avec des conséquences à long terme pour les arbres et la dynamique de l’écosystème.
ISSN:0141-6707
1365-2028
DOI:10.1111/j.1365-2028.2007.00872.x