Apical hypertrophic cardiomyopathy treated as ST-elevation myocardial infarction

Electrocardiographic changes resulting from apical hypertrophic cardiomyopathy may mimic an acute coronary syndrome. A 67-year-old Sudanese male without cardiac risk factors presented to hospital with chest pain and electrocardiographic findings of septal ST-segment elevation, ST-segment depression...

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Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Canadian journal of emergency medicine 2018-10, Vol.20 (S2), p.S51-S55
Hauptverfasser: Parr, Christopher J., Sharma, Rajat, Garber, Philip J.
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Electrocardiographic changes resulting from apical hypertrophic cardiomyopathy may mimic an acute coronary syndrome. A 67-year-old Sudanese male without cardiac risk factors presented to hospital with chest pain and electrocardiographic findings of septal ST-segment elevation, ST-segment depression in V4-V6, and diffuse T-wave inversion. He was treated as an acute ST-elevation myocardial infarction with thrombolytics. There was no cardiac biomarker rise and coronary angiography did not reveal evidence of significant coronary arterial disease. Ventriculography, transthoracic echocardiography, and cardiac magnetic resonance imaging were consistent with apical hypertrophic cardiomyopathy. The patient was discharged three days later with outpatient cardiology follow-up. We highlight the clinical and electrocardiographic findings of apical hypertrophic cardiomyopathy, with an emphasis on distinguishing this from acute myocardial infarction. Les modifications électrocardiographiques liées à une myocardiopathie hypertrophique apicale peuvent simuler celles d’un syndrome coronarien aigu. Un homme de 67 ans d’origine soudanaise, sans facteurs de risque de maladie cardiaque a consulté pour des douleurs thoraciques, et différentes modifications électrocardiographiques ont été observées, notamment un sus-décalage du segment ST en territoire septal, un sous-décalage du segment ST en V4-V6 et une inversion diffuse de l’onde T. Aussi a-t-il été traité par des thrombolytiques pour un infarctus aigu du myocarde avec sus-décalage du segment ST, mais l’accident cardiaque ne s’est pas accompagné d’une élévation des biomarqueurs cardiaques, et la coronarographie n’a pas montré de signes d’une coronaropathie importante. Par contre, les résultats de la ventriculographie, de l’échographie transthoracique et de l’imagerie par résonance magnétiques, eux, convergeaient vers une myocardiopathie hypertrophique apicale. Le patient a recu son congé au bout de trois jours, puis a été suivi en cardiologie, en consultation externe. Il sera donc question, dans l’article, des aspects cliniques de la myocardiopathie hypertrophique apicale et des modifications électrocardiographiques qui y sont liées, et surtout des éléments qui permettent de distinguer cette affection et de l’infarctus aigu du myocarde.
ISSN:1481-8035
1481-8043
DOI:10.1017/cem.2017.409