Conditional Conservatism and Debt versus Equity Financing
Extant research suggests that conditional conservatism reduces information asymmetry between a firm and its shareholders as well as its debtholders. However, there is little evidence on whether conditional conservatism reduces information asymmetry differentially for shareholders and debtholders. We...
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Veröffentlicht in: | Contemporary accounting research 2017-03, Vol.34 (1), p.216-251 |
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Hauptverfasser: | , , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Extant research suggests that conditional conservatism reduces information asymmetry between a firm and its shareholders as well as its debtholders. However, there is little evidence on whether conditional conservatism reduces information asymmetry differentially for shareholders and debtholders. We use the setting of a firm's choice between equity versus debt when it seeks a significant amount of external financing to examine this research question. We find that when firms raise a significant amount of external financing, the use of equity (versus debt) increases with the level of conservatism. We also find that the reduction in cost of equity associated with conservatism is greater for equity issuers than for debt issuers, but find no such difference when we examine cost of debt. In addition, we find that the positive effect of conservatism on the choice of equity issuance (versus debt issuance) is accentuated when the information asymmetry between the firm and its shareholders is more severe. Overall, our results suggest that conservatism reduces information asymmetry more between firms and shareholders than between firms and debtholders.
Prudence conditionnelle et financement par emprunt ou par capitaux propres
Selon les études existantes, la prudence conditionnelle réduit l'asymétrie de l'information entre une société et ses actionnaires de même que ses créanciers. Toutefois, rares sont les données concluantes quant à savoir si cette réduction de l'asymétrie de l'information attribuable à la prudence conditionnelle diffère pour les actionnaires et les créanciers. Pour étudier la question, les auteurs utilisent le contexte du choix d'une société entre le financement par capitaux propres ou par emprunt lorsque ses besoins de financement externe sont importants. Ils constatent que, dans le cas des sociétés dont ces besoins sont importants, le recours aux capitaux propres (par opposition au recours à l'emprunt) augmente avec le degré de prudence. Les auteurs observent également que la réduction du coût des capitaux propres associée à la prudence est plus importante dans le cas des sociétés émettrices d'actions que dans celui des sociétés émettrices de titres de créance, mais ils ne relèvent aucun écart de cette nature pour ce qui est de coût de la dette. Ils constatent en outre que l'incidence positive de la prudence sur le choix de l'émission d'actions (plutôt que de titres de créance) s'accentue lorsque l'asymétrie de l'information entre la société et s |
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ISSN: | 0823-9150 1911-3846 |
DOI: | 10.1111/1911-3846.12237 |