Imagerie conventionnelle dans l’épilepsie
Le rôle de l’imagerie dans le bilan de la maladie épileptique est prépondérant, en particulier dans le bilan préchirurgical des épilepsies résistantes au traitement médicamenteux, afin de trouver une étiologie et de planifier l’étendue du geste chirurgical. La première cause d’épilepsie réfractaire...
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Veröffentlicht in: | Journal of neuroradiology 2016-03, Vol.43 (2), p.75-75 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le rôle de l’imagerie dans le bilan de la maladie épileptique est prépondérant, en particulier dans le bilan préchirurgical des épilepsies résistantes au traitement médicamenteux, afin de trouver une étiologie et de planifier l’étendue du geste chirurgical. La première cause d’épilepsie réfractaire opérée est la sclérose de l’hippocampe, suivi par les causes tumorales et les malformations du développement cortical (en particulier les dysplasies corticales focales). L’anomalie causale est parfois subtile et le protocole d’acquisition (séquences, plan d’étude, reformatage) doit être d’autant plus rigoureux et adapté au contexte clinique et électro-clinique (crise temporale vs extratemporale ? EEG localisateur ?). L’optimisation des séquences (3D-FLAIR, double inversion récupération, susceptibilité) trouve particulièrement son intérêt. La reconstruction multiplanaire et surfacique est également fondamentale pour dépister de petites modifications corticales ou sulcales. L’injection n’apporte le plus souvent pas d’information, hormis dans le cas des causes tumorales épileptogènes (DNT, gangliogliome). |
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ISSN: | 0150-9861 |
DOI: | 10.1016/j.neurad.2016.01.035 |