Gap characteristics and regeneration in Bwindi Impenetrable National Park, Uganda

Before Bwindi Impenetrable forest, Uganda, became a national park in 1991, there was a high level of human activity in much of the forest, especially cutting of large trees for timber by pitsawyers. This created extensive gaps in this tropical Afromontane rain forest. We quantified and compared tree...

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Veröffentlicht in:African journal of ecology 2004-09, Vol.42 (3), p.217-224
Hauptverfasser: Babaasa, Dennis, Eilu, Gerald, Kasangaki, Aventino, Bitariho, Robert, McNeilage, Alastair
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Before Bwindi Impenetrable forest, Uganda, became a national park in 1991, there was a high level of human activity in much of the forest, especially cutting of large trees for timber by pitsawyers. This created extensive gaps in this tropical Afromontane rain forest. We quantified and compared tree regeneration in three sites that were logged at different intensities. Gap sizes in Bwindi, even under fairly natural conditions are very large (mean =4460.1 m2). Logging further enlarged the gap sizes and had a negative impact on tree regeneration. The study shows the strong role of logging disturbance in promoting an alternative successional pathway, where the large gaps created by logging are in a low‐canopy state dominated by a dense tangle of herbs, shrubs, and herbaceous or semi‐woody climbers. We recommend periodic monitoring of gap size and tree regeneration in the gaps to ascertain the trend of recovery from past logging disturbance. Résumé Avant que la forêt Impénétrable de Bwindi, en Ouganda, ne devienne un parc national en 1991, il y avait beaucoup d'activités humaines dans une grande partie de la forêt et particulièrement des coupes de gros arbres par des scieurs de long. Ceci a causé la présence de nombreux trous dans cette forêt tropicale afro‐montagnarde. Nous avons quantifié et comparé la régénération des arbres sur trois sites qui ont été diversement exploités. La taille des trous à Bwindi, même dans des conditions relativement naturelles, est très grande (moyenne = 4.460,1 m2). L'exploitation forestière a encore élargi ces trous et elle a eu un impact négatif sur la régénération des arbres. L’étude montre le rôle important joué par la perturbation causèe par l'exploitation, qui a entraîné un développement alternatif évolutif ; les grands trous créés par l'exploitation ont une canopée basse et sont dominés par un enchevêtrement d'herbes, de buissons et de plantes grimpantes herbacées ou semi‐ligneuses. Nous recommandons la surveillance périodique de la taille des trous et de la régénération des arbres qui s'y déroule, pour évaluer la tendance à la récupération après la perturbation due à l'exploitation.
ISSN:0141-6707
1365-2028
DOI:10.1111/j.1365-2028.2004.00519.x