Geometric morphometrics reveals sexual and genotypic dimorphisms in the brown trout

The objective is to study different factors of variations in the body shape of trout (Salmo trutta) belonging to the Mediterranean lineage (indigenous trout) or Atlantic lineage (introduced trout), and their hybrids. Using thin plate-spline (TPS) method by pointing landmarks, it made possible to provide a graphical representation of the characteristic conformation of the individuals. The characteristics of form highlighted let appear – that the male trout have a dorsal part more prominent than that of the female trout and a larger head – the existence of a general curvature of the body related to the size of trout, independently of the sex. In addition, characteristics of form provide satisfactory results to distinguish the Mediterranean lineage from the Atlantic lineage. The recognition of hybrid trout is more random because very near to Mediterranean trout. The existence of a sexual dimorphism could be established in spite of the absence of information on the sex. Comparative with the sexual dimorphisms in spawning period reveals morphological transformations during the reproduction, mainly for the males. Independently of the genotypic and sexual dimorphisms, a general curvature of the body related to the size was detected. L'objectif est d'étudier différents facteurs de variations de forme chez la truite (Salmo trutta) appartenant au rameau évolutif méditerranéen autochtone, ou d'origine atlantique introduite, et de leurs hybrides. L'utilisation de la méthode des plaques minces (TPS) permet de représenter graphiquement les déformations des individus. Les caractéristiques de forme mises en évidence laissent apparaître – que les géniteurs mâles ont une partie dorsale plus proéminente que celle des géniteurs femelles et une plus grande tête – l'existence d'une courbure générale du corps liée à la taille des truites. Les caractéristiques de forme fournissent aussi des résultats satisfaisants pour distinguer la lignée « méditerranéenne » de la lignée « atlantique ». La reconnaissance des truites hybrides est plus aléatoire du fait de leurs ressemblances avec les truites méditerranéennes. L'existence d'un dimorphisme sexuel a pu être établi malgré l'absence d'informations sur le sexe. Une comparaison avec les dimorphismes sexuels en période de frai révèle des transformations morphologiques au moment de la reproduction, principalement chez les mâles. Indépendamment des dimorphismes génotypiques et sexuels, une courbure générale du corps liée à la taille a été