Congruency Effects on Recognition Memory: A Context Effect

Two recent studies have reported that incongruent selective attention items are better remembered than congruent items on a surprise recognition memory test. These findings suggest that an increased need for cognitive control may trigger encoding mechanisms at the time of study that result in better...

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Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Canadian journal of experimental psychology 2015-06, Vol.69 (2), p.206-212
Hauptverfasser: Rosner, Tamara M., Milliken, Bruce
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Two recent studies have reported that incongruent selective attention items are better remembered than congruent items on a surprise recognition memory test. These findings suggest that an increased need for cognitive control may trigger encoding mechanisms at the time of study that result in better recognition of those items at test, a form of the desirable difficulty effect. The experiments in this study demonstrate that this effect can depend on whether differences in selective attention difficulty are blocked or intermixed at the time of encoding. These results suggest that additional encoding time itself does not invariably result in better recognition for more difficult selective attention items. Instead, the dependence of recognition memory on encoding difficulty appears to reflect a context-sensitive control response to encoding difficulty. Deux récentes études ont rapporté qu'on se rappelle mieux les éléments incongrus pour l'attention sélective que les éléments compatibles dans le cadre d'un test de reconnaissance surprise. Ces résultats suggèrent qu'un besoin accru de contrôle cognitif peut activer des mécanismes d'encodage au moment de l'étude, ce qui entraîne une meilleure reconnaissance des items durant le test, ce qui laisse entrevoir un type d'effet de difficulté désirable. Les expériences réalisées dans le cadre de la présente étude ont montré que cet effet peut varier selon que les différences dans la difficulté pour l'attention sélective sont bloquées ou mélangées au moment de l'encodage. Ces résultats suggèrent qu'un plus long délai d'encodage ne donne pas lieu nécessairement à une meilleure reconnaissance des éléments les plus difficiles pour l'attention sélective. Plutôt, la dépendance de la mémoire de reconnaissance à la difficulté d'encodage semble témoigner d'une réaction de contrôle suscitée par la difficulté d'encodage variant selon le contexte.
ISSN:1196-1961
1878-7290
DOI:10.1037/cep0000049