The Prevention of Depression and Anxiety in a Sample of High-Risk Adolescents: A Randomized Controlled Trial

This study investigated the efficacy of cognitive behavioural therapy (CBT) techniques in preventing depression and anxiety in a group of adolescent high school students with elevated risk for developing emotional disorders. Students were screened using a measure of depression severity and clinical...

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Veröffentlicht in:Canadian journal of school psychology 2010-12, Vol.25 (4), p.291-310
Hauptverfasser: Dobson, Keith S., Ahnberg Hopkins, Jamie, Fata, Ladan, Scherrer, Martin, Allan, Lauren C.
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:This study investigated the efficacy of cognitive behavioural therapy (CBT) techniques in preventing depression and anxiety in a group of adolescent high school students with elevated risk for developing emotional disorders. Students were screened using a measure of depression severity and clinical interview. Following screening procedures, students at risk for, but not currently diagnosed with, depression were randomly assigned to one of two intervention groups: a CBT (n = 25) or an active control group (n = 21). Assessment measures were administered before treatment, after treatment, and at 3- and 6-month follow-up. Both groups exhibited significant improvements in mood symptomatology and self-esteem outcomes over time. Significant differences between groups were not observed at posttreatment and two follow-up points of assessment. The efficacy of CBT techniques was also examined using a “benchmarking” strategy. The limitations of this study and future research directions are discussed. Cette étude portait sur l’efficacité de techniques utilisées en thérapie cognitive comportementale (TCC) pour prévenir la dépression et l’anxiété chez un groupe d’étudiants du secondaire à risque élevé de troubles émotionnels. Les participants ont été choisis au moyen d’une mesure de la sévérité de la dépression et d’une entrevue clinique. Ensuite, les étudiants à risque de dépression, mais sans en avoir actuellement le diagnostic, ont été assignés de façon aléatoire à l’un des deux groupes d’intervention, soit à celui qui utilisait la TCC (n = 25) ou au groupe de contrôle actif (n = 21). Les mesures d’évaluation ont été effectuées avant et après le traitement, et aux suivis de 3 et de 6 mois. Les deux groupes ont démontré une amélioration significative, dans le temps, de l’estime de soi et des symptômes liés à l’humeur. Aucune différence significative n’a été observée entre les deux groupes lors des évaluations faites après le traitement et lors des deux suivis. L’efficacité de la TCC a, de plus, été examinée à l’aide d’une technique d’étalonnage. Pour clore, nous discutons des limites de l’étude et des directions à donner aux recherches à venir.
ISSN:0829-5735
2154-3984
DOI:10.1177/0829573510386449