Coronavirus : Nous sommes tous mortels. Du signifiant vide à la nature ouverte de l’histoire
Le problème qui reste est : comment garantir que cette expérience reste enregistrée dans les discours du temps post-pandémie et continue d’être audible pour, de cette manière, éviter le retour de la fiction de normalité et d’inaltérabilité qui nous capturait ? Comment retenir l’expérience d’un désir...
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Veröffentlicht in: | Artelogie 2022-01, Vol.18 (18), p.98 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | eng ; fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le problème qui reste est : comment garantir que cette expérience reste enregistrée dans les discours du temps post-pandémie et continue d’être audible pour, de cette manière, éviter le retour de la fiction de normalité et d’inaltérabilité qui nous capturait ? Comment retenir l’expérience d’un désir qui, du moins pendant cet intervalle, s’est acheminé librement vers d’autres formes de satisfaction et de réalisation ? Il y aura des forces habiles, très bien instruites, étudiant le sujet pour clôturer cette mémoire, la bannir, l’interdire, pour de cette manière garantir la continuité d’une « normalité » que la pandémie avait interrompue. Comment nous préparer pour que l’oubli ne survienne pas ? Mais aussi, comment éviter que la perte de l’expérience accumulée en 2001 ne se produise à nouveau ?. |
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ISSN: | 2115-6395 2115-6395 |
DOI: | 10.4000/artelogie.11374 |