Et si l’échec renforçait la légitimité ? Le cas singulier du capital-risqueur
Cet article pose la question des liens singuliers qu’entretiennent l’échec et la légitimité professionnelle. Nous choisissons le capital-risque pour explorer ces liens car les échecs y sont récurrents. La méthodologie est qualitative et prend appui sur une série d’entretiens semi-directifs. Nous mon...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Management international (Montréal) 2015, Vol.19 (3), p.129-147 |
---|---|
Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | Cet article pose la question des liens singuliers qu’entretiennent l’échec et la légitimité professionnelle. Nous choisissons le capital-risque pour explorer ces liens car les échecs y sont récurrents. La méthodologie est qualitative et prend appui sur une série d’entretiens semi-directifs. Nous montrons que l’échec est avant tout une affaire de perception. La syndication constitue la pratique professionnelle à travers laquelle la légitimité des capital-risqueurs est éprouvée. Nos investigations montrent que la légitimité n’est donc pas nécessairement altérée par l’échec. Tout dépend de la perception de l’échec (naturelle / dysfonctionnelle) et de la responsabilité de l’acteur dans cet échec (engagée / non engagée). |
---|---|
ISSN: | 1206-1697 1918-9222 |
DOI: | 10.7202/1043007ar |