Écrire, c’est bien ; bien écrire, c’est mieux
Ce lien entre les deux est si étroit qu’en améliorant l’un, on se trouve presque immanquablement à améliorer l’autre. Nous verrons ici comment s’y prendre pour construire un récit clair et vivant de l’histoire de sa recherche. Elle vise à les convaincre qu’en maîtrisant toujours mieux l’art de l’écr...
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Veröffentlicht in: | Revue internationale P.M.E 2018, Vol.31 (3-4), p.7-16 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Ce lien entre les deux est si étroit qu’en améliorant l’un, on se trouve presque immanquablement à améliorer l’autre. Nous verrons ici comment s’y prendre pour construire un récit clair et vivant de l’histoire de sa recherche. Elle vise à les convaincre qu’en maîtrisant toujours mieux l’art de l’écriture, leurs travaux pourraient bien être plus souvent acceptés, lus et cités. Sans surprise, le chercheur trop pressé exprime parfois des idées qui sont encore un peu floues dans sa propre tête, surtout en lien avec l’objectif de sa recherche, sa problématisation et son intérêt sur le plan théorique. Évidemment, chacun possède sa propre structure cognitive qui rend à ses yeux un texte plus ou moins difficile à comprendre. |
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ISSN: | 0776-5436 1918-9699 |
DOI: | 10.7202/1054414ar |