Plus de maternelles pour moins d’égalité socio-territoriale ?

Créé à la fin du XIX e  siècle, l’accueil préscolaire s’est d’abord développé dans les zones urbaines avant que son implantation dans les zones rurales devienne un objet de préoccupation des pouvoirs publics à partir des années 1950 et dans les années 1970 plus particulièrement. Envisagée comme un m...

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Veröffentlicht in:Mouvements (Paris, France : 1998) France : 1998), 2021-01, Vol.107 (3), p.34-44
1. Verfasser: Legris, Patricia
Format: Artikel
Sprache:fre
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Beschreibung
Zusammenfassung:Créé à la fin du XIX e  siècle, l’accueil préscolaire s’est d’abord développé dans les zones urbaines avant que son implantation dans les zones rurales devienne un objet de préoccupation des pouvoirs publics à partir des années 1950 et dans les années 1970 plus particulièrement. Envisagée comme un moyen d’endiguer l’exode rural et de promouvoir l’égalité des chances, la densification du préscolaire dans les territoires ruraux a toutefois été limitée par les difficultés économiques des communes, en charge du bâti et du personnel. En s’appuyant essentiellement sur le cas de la Bretagne, Patricia Legris retrace les aléas de la création de structures préscolaires en zones rurales. Elle souligne ainsi les changements de représentations dont a fait l’objet la préscolarisation et le poids des contraintes économiques.
ISSN:1291-6412
1776-2995
DOI:10.3917/mouv.107.0034