An examination of the impact of neighbourhood walking environments on the likelihood of residents of dense urban areas becoming overweight or obese

With the development of urbanization in China, obesity is becoming a serious problem, and the relationship between walking environments and obesity has attracted considerable interest. Using data from questionnaires (n = 418) gathered in 2017 from eight neighbourhoods in Guangzhou, China, a typical high‐density city, this study developed an Ordered Logit Model (OLM) to explore the effects of walking environments on the likelihood of residents becoming overweight or obese. The results demonstrate that body mass index (BMI) of individuals living in central urban areas is higher than those of suburban residents. After controlling for the effects of socio‐economic factors, it was found that the impact of walking environments at the scale of 1‐km buffer on individual BMI is the most significant. Variables of walkability, road network density, bus stop density, metro stop density, green coverage rate, and distance to the park have negative effects on BMI. Based on these findings, it is suggested that planning interventions should focus more on the areas through which residents walk in their daily travel routines. The selection of neighbourhoods surveyed and the sample size limit this study, but the conclusions do provide a scientific basis for the construction of neighbourhoods that encourage walking and decrease the probability of becoming overweight or obese. Étude des effets des quartiers denses axés sur la marche sur les risques de surpoids ou d'obésité au sein des populations Avec l'urbanisation rapide de la Chine, le problème de l'obésité au sein des populations est devenu de plus en plus aigu. Dans ce contexte, la relation entre les environnements urbains axés sur la marche et l'obésité suscite un vif intérêt. A partir de 418 questionnaires provenant de 8 communautés de la ville de Guangzhou, questionnaire administré en 2017, nous avons mis au point un modèle logit structuré pour étudier les effets de l'environnement urbain sur la santé de la population. Les résultats montrent que l'indice de santé physique de la population urbaine centrale (BMI) est plus élevé que celui de la population périurbaine. Après avoir contrôlé statistiquement l'impact des facteurs socioéconomiques, nous avons constaté que les effets d'un kilomètre d'environnement de marche dans la zone tampon sur le BMI était le facteur plus important. Les variables telles que la capacité de marche, la densité du réseau de bus, la densité des stations de métro, la couverture verte et la distanc