La non-reconnaissance de la dette : Walter Benjamin et la traduction
En abordant la traduction selon le paradigme de la parenté dans un sens absolument non métaphorique au lieu de celui, habituel a la théorie traditionnel, de la ressemblance, La tâche du traducteur esquisse une théorie critique de la traduction qui met hors jeu la conception convenue d'une dette...
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Veröffentlicht in: | A contrario 2017-01 (24), p.21-138 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | En abordant la traduction selon le paradigme de la parenté dans un sens absolument non métaphorique au lieu de celui, habituel a la théorie traditionnel, de la ressemblance, La tâche du traducteur esquisse une théorie critique de la traduction qui met hors jeu la conception convenue d'une dette envers l'original. Benjamin place ainsi l'enjeu de la traduction au-dela d'une affaire d'échange, de réciprocité ou de fidélité plus ou moins assumés, sur le terrain proprement philosophique. |
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ISSN: | 1660-7880 1662-8667 |