Études : le cinéma africain et la diaspora noire américaine
Du 26 février au 5 mars 2005, se tenait, à Ouagadougou, la dix-neuvième édition du Festival panafricain du Cinéma. Au menu de cette édition : une compétition qui incluait vingt longs métrages, quinze courts métrages, une rencontre sur la professionnalisation, une rétrospective sur le cinquantenaire...
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Veröffentlicht in: | Présence africaine 2004-01, Vol.170, p.169-173 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Du 26 février au 5 mars 2005, se tenait, à Ouagadougou, la dix-neuvième édition du Festival panafricain du Cinéma. Au menu de cette édition : une compétition qui incluait vingt longs métrages, quinze courts métrages, une rencontre sur la professionnalisation, une rétrospective sur le cinquantenaire du cinéma africain et, très important pour notre propos, une présentation de films de la diaspora, en compétition pour le prix Paul Robeson, consacré au meilleur film d’auteur de la diaspora noire dont le réalisateur vit hors du continent. La promotion de ce prix est l’œuvre d’un comité de professionnels du cinéma, d’écrivains et de critiques, surtout noirs, venus des États-Unis. On notera, en passant, que le but de ce comité était de "ressusciter" ce prix de la diaspora noire qui n’avait pas été attribué lors de la dix-huitième édition du Fespaco en 2003. |
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ISSN: | 0032-7638 |