Cérémonie d'ouverture à la Sorbonne : 19 septembre 2006 : que peuvent les intelligentsias noires de 2006 pour la bonne mondialisation?
Pour mieux comprendre la complexité de notre planète, Erik Orsenna a suivi, dans un livre récent, l’aventure historique du coton. À mon humble tour, je suis tenté de demander à d’autres denrées familières de vous chuchoter à l’oreille leur histoire: Il était une fois…, dit le café; Il était une fois...
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Veröffentlicht in: | Présence africaine 2006-01, Vol.174, p.36-44 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Pour mieux comprendre la complexité de notre planète, Erik Orsenna a suivi, dans un livre récent, l’aventure historique du coton. À mon humble tour, je suis tenté de demander à d’autres denrées familières de vous chuchoter à l’oreille leur histoire: Il était une fois…, dit le café; Il était une fois…, dit le sucre; Il était une fois…, dit le légendaire bois d’ébène. Leur triple parole de matières premières pourrait peut-être conduire à une meilleure compréhension de la mondialisation initiale du XVIe siècle, c’est-à-dire la "découverte" qui projeta dans la tragédie le destin des ethnies de l’Amérique précolombienne et celui des ethnies de l’Afrique sub-saharienne. |
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ISSN: | 0032-7638 |