Ceci n’est pas un tube : de l’itérabilité dans The Burning Perch de Louis MacNeice
Cet article procède d’un constat : tout au long de sa carrière poétique, Louis MacNeice aura multiplié les recours à diverses modalités de la répétition. Dans The Burning Perch , en particulier, il aura fait un usage insistant et déstabilisant du refrain. Une telle itérabilité est assurément consubs...
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Veröffentlicht in: | Etudes anglaises 2016-01, Vol.69 (1), p.113-126 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Cet article procède d’un constat : tout au long de sa carrière poétique, Louis MacNeice aura multiplié les recours à diverses modalités de la répétition. Dans The Burning Perch , en particulier, il aura fait un usage insistant et déstabilisant du refrain. Une telle itérabilité est assurément consubstantielle au fonctionnement de la poésie ; elle est aussi propre à l’économie « tubulaire », telle que l’analyse Peter Szendy, et rappelle fortement le fonctionnement de la « ritournelle », selon Deleuze et Guattari. C’est cette parenté, mais aussi cette différence, entre la chanson et le poème, qu’on explorera ici, avant de conclure, sans grande surprise, à l’irréductibilité du poétique. |
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ISSN: | 0014-195X 1965-0159 |
DOI: | 10.3917/etan.691.0113 |