D’« Altazor » à Larva : le courant transformationniste en traduction
Le présent article porte sur les tendances traductives du courant transformationniste lié à la revue Change (1968-1983) à travers l’exemple d’un extrait du roman Larva de Julián Ríos traduit par Gérard de Cortanze. Cette traduction témoigne de nombreuses prises de liberté narratives et poétiques, co...
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Veröffentlicht in: | Meta (Montréal) 2018-08, Vol.63 (2), p.286-305 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le présent article porte sur les tendances traductives du courant transformationniste lié à la revue Change (1968-1983) à travers l’exemple d’un extrait du roman Larva de Julián Ríos traduit par Gérard de Cortanze. Cette traduction témoigne de nombreuses prises de liberté narratives et poétiques, conformément aux principes transformationnistes qui visent au détournement de la poéticité du texte original. Pour comprendre la position traductive de de Cortanze, sa traduction du poème « Altazor » de Vicente Huidobro et la préface qui l’accompagne, parues quelques années avant la traduction de Larva, ont servi de référence. L’une des particularités du projet de traduction de Larva réside dans le fait qu’il a été guidé par la traduction de poésie avant-gardiste. À partir de la perspective sociocritique d’Annie Brisset dans ses travaux sur la traduction d’« Altazor » (2006 ; 2011), cet article considère la traduction d’un extrait de Larva en lien avec le discours critique qui lui est contemporain. |
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ISSN: | 0026-0452 1492-1421 |
DOI: | 10.7202/1055140ar |