Filmusique, filmopéra
Il apparaît alors possible de composer une «musique» en suivant la richesse de timbre des sons, en suivant l'allure, le grain, l'épaisseur harmonique, le déplacement spatial et la fluctuation temporelle. « Dans une approche électroacoustique de la bande sonore, tous les sons - aussi bien l...
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Veröffentlicht in: | Cinémas (Montréal) 1996-04, Vol.6 (2/3), p.231 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Il apparaît alors possible de composer une «musique» en suivant la richesse de timbre des sons, en suivant l'allure, le grain, l'épaisseur harmonique, le déplacement spatial et la fluctuation temporelle. « Dans une approche électroacoustique de la bande sonore, tous les sons - aussi bien les paroles que les sons réalistes - sont considérés comme exploitables musicalement», écrit Yves Daoust. Dans sa syntaxe, la bande sonore de Jour après jour, par exemple, favorise systématiquement la « transition » 4 ou le « lien » pour mener d'une unité sonore à une autre, jusqu'à faire terminer chaque motif non dans l'arrêt brutal mais dans la «suspension». |
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ISSN: | 1181-6945 1705-6500 |