Short-Term Redistributive Effects of Public Financing of University Education in Quebec
Les effets redistributifs du financement public de l'enseignement universitaire au Québec en 1984 sont analysés dans ce texte. Les familles sont regroupées selon le niveau d'instruction du chef de famille; les effets considérés sont évalués pour un sous-groupe de familles, susceptibles d...
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Veröffentlicht in: | Canadian public policy 1992-06, Vol.18 (2), p.176-188 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Les effets redistributifs du financement public de l'enseignement universitaire au Québec en 1984 sont analysés dans ce texte. Les familles sont regroupées selon le niveau d'instruction du chef de famille; les effets considérés sont évalués pour un sous-groupe de familles, susceptibles d'avoir un enfant à l'université au moment de l'enquête. Les bénéfices sont mesurés par la valeur en termes de coût de trois formes d'intervention: les subventions aux établissements, l'aide aux étudiants et les dépenses fiscales. Cette valeur est corrélée positivement avec l'origine sociale de l'étudiant. Nos résultats ne permettent pas de rejeter l'hypothèse de régressivité. /// Redistributive effects of public financing of university education in Quebec in 1984 are analysed. Families are grouped by education level of head of family; redistributive effects are assumed to take place within families which are likely to have a child in university during the period of the survey. Benefits are represented by the cost of three forms of public intervention: public subsidies to universities, student aid and tax expenditure. The total value of public intervention is positively correlated with socio-economic status. We are unable to reject the hypothesis of regressivity. |
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ISSN: | 0317-0861 1911-9917 |
DOI: | 10.2307/3551423 |