Kaion’ni, le wampum rompu: De la rupture de la chaîne d’alliance ou « le grand inconscient résineux
Cet article est une réflexion sur l’état actuel de la présence ou de l’absence des écrivains amérindiens et inuits au Québec à travers une mise en parallèle avec le contexte du Canada autochtone et plus largement du continent nord et sud-américain et de l’ailleurs fabuleux du monde. L’auteur présent...
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Veröffentlicht in: | Recherches amérindiennes au Québec 2003, Vol.33 (3), p.55-64 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Cet article est une réflexion sur l’état actuel de la présence ou de l’absence des écrivains amérindiens et inuits au Québec à travers une mise en parallèle avec le contexte du Canada autochtone et plus largement du continent nord et sud-américain et de l’ailleurs fabuleux du monde. L’auteur présente cette réflexion de façon personnelle à travers sa propre expérience et son parcours d’artiste. Homme de théâtre et homme de paroles avant tout, il crée des spectacles où le texte est au service de la parole, de la voix. Culture orale oblige, le théâtre demeure toujours un artisanat, un archaïsme incontournable, une sorte de chamanisme qui tisse la rencontre et la confrontation nécessaire du je, du nous et du vous. Selon lui, il y a beaucoup de subterfuges et de mensonges qui consacrent la médiocrité de ce qui se fait pour et au nom des autochtones ou encore sur ceux-ci. En fait, n’y aurait-il pas une dépossession de la littérature, une mise à l’écart puisque certains privilégiés occupent tout le champ, tout le vacuum ? Toute écriture, tout texte sont-ils littérature ? |
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ISSN: | 0318-4137 1923-5151 |
DOI: | 10.7202/1082423ar |