Natural killer cell populations in Egyptians infected with hepatitis C virus/Populations de cellules tueuses naturelles chez des Egyptiens infectes par le virus de l'hepatite C

Natural killer (NK) cells are key players in the immune response to viruses. This study examined the effect of hepatitis C virus (HCV) on the frequency of NK cells and their subsets in individuals with different clinical outcomes; 20 positive for anti-HCV and HCV-RNA (chronic hepatitis C), 20 positive for anti-HCV but negative for HCV-RNA (spontaneously resolved) and 20 healthy controls free of HCV. There was a significant reduction in the frequency of total NK cells in the chronic group compared to the control (P = 0.001) or resolved (P = 0.01) groups. The percentage of CD56(bright) cells was significantly higher than the control group (P = 0.04). While the percentages of CD56 (dim) cells and their CD16 expression were lower in the chronic group, this was not statistically significant. The frequency of CD3+CD56- T cells was significantly lower in both the chronic and resolved groups compared to the control group (P = 0.04). Our results confirm a potential role of NK cells and the different subsets in the pathogenesis of chronic HCV infection. Les cellules tueuses naturelles jouent un role majeur dans la reponse immunitaire aux virus. La presente etude a examine l'effet du virus de l'hepatite C (VHC) sur la frequence des cellules tueuses naturelles et de leurs sousgroupes chez des personnes presentant des issues cliniques differentes : 20 patients positifs pour les anticorps antiVHC et pour son ARN (hepatite C chronique) ; 20 personnes positives pour les anticorps anti-VHC mais negatives pour son ARN (resolution spontanee) ; et 20 temoins en bonne sante ne presentant pas d'infection par le virus de l'hepatite C. Une reduction importante de la frequence des cellules tueuses naturelles totales dans le groupe des patients porteurs d'une infection chronique a ete observee par rapport au groupe des temoins (P = 0,001) ou au groupe des patients dont l'infection a connu une resolution spontanee (P = 0,01). Le pourcentage des cellules CD56 (bright) etait significativement superieur (P = 0,04) a celui du groupe temoin. Si le pourcentage des cellules CD56 (dim) et de leur expression de CD16 etait inferieur dans le groupe de patients infectes chroniquement, la difference n'etait pas statistiquement significative. La frequence des cellules T CD3+CD56 etait tres inferieure a la fois dans le groupe de patients infectes chroniquement et dans le groupe ayant beneficie d'une resolution spontanee par rapport au groupe temoin (P = 0,04). Nos resultats confirment le role pote