Les monuments étrangers : la mémoire des régimes passés dans les villes postsocialistes
Après la disparition du régime socialiste, les monuments dits « étrangers » dans les pays d’Europe centrale et orientale – Pologne, Allemagne et Ukraine – ont été diversement gérés. Ces monuments « étrangers », érigés par des architectes venant de l’extérieur du pays et qui ne sont pas en harmonie a...
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Veröffentlicht in: | Revue des études slaves 2015, Vol.86 (1/2), p.75-93 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Après la disparition du régime socialiste, les monuments dits « étrangers » dans les pays d’Europe centrale et orientale – Pologne, Allemagne et Ukraine – ont été diversement gérés. Ces monuments « étrangers », érigés par des architectes venant de l’extérieur du pays et qui ne sont pas en harmonie avec la tradition architecturale locale, paraissent comme surajoutés dans l’environnement urbain. Qu’arrive-t-il à ces structures, qui incarnent la mémoire de l’occupation, de la domination extérieure ? Quelle est leur place dans les villes postsocialistes ? On s’interrogera en particulier sur les monuments à la mémoire d’événements et de héros dont la signification était importante pour les autorités d’occupation. |
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ISSN: | 0080-2557 2117-718X |
DOI: | 10.4000/res.670 |