I CONCETTI DI INTERVENTO E DI DISCREZIONALITÀ DELL'AMMINISTRAZIONE / THE CONCEPTS OF INTERVENTION AND ADMINISTRATIVE DISCRETION

Prenant comme point de départ le terme d' « intervention » tel qu'il a été employé par MM. L. Mises, H. Sennholz, H. Hazlitt, F. Machlup, P. Greaves et autres, l'auteur suggère une nouvelle interprétation de ce mot qui indiquerait une interférence dans le domaine des affaires économiq...

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Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Politico (Pavia, Italy) Italy), 1957-12, Vol.22 (3), p.539-573
Hauptverfasser: Kemp, Arthur, Pennacini, Treves
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Prenant comme point de départ le terme d' « intervention » tel qu'il a été employé par MM. L. Mises, H. Sennholz, H. Hazlitt, F. Machlup, P. Greaves et autres, l'auteur suggère une nouvelle interprétation de ce mot qui indiquerait une interférence dans le domaine des affaires économiques de la part de l'Etat, afin de provoquer, ou d'empêcher, certains actes de la part des particuliers, indépendamment de la volonté de ces personnes. L'A. estime que cette interprétation est analogue à celle qui a été suggérée par F. Hayek, relative à la coercition.Il argumente par conséquent qu'une tendance de directives libérales peut se développer; c'est une politique de liberté qui devrait avoir pour but la minimisation de l'interventionou de ses nuisibles effets. Toutefois, l'A. ne peut séparer une telle directive d'une condition nécessaire, c.à.d. qu'une intervention pour être valable doit être effectuée à la suite d'une loi plutôt qu'à la suite d'un ordre.Une intervention n'est pas soutenable si elle est faite selon le pouvoir discrétionnaire de l'administration, qui est de par sa propre nature, sujette à l'entêtement, au caprice et à la concentration du pouvoir arbitraire. Au lieu de se servir d'une explication analogue ou hypothétique pour illustrer les principaux événements, l'auteur a cru bon de choisir — comme exemple de réduction méthodique d'une intervention qui était d'abord totale — le développement des usages pacifiques de l'énergie atomique auxEtats-Unis. Il met en évidence que jusqu'à aujourd'hui les Etats-Unis, sont intervenus pour réaliser le développement privé, et par conséquent, économique, de l'énergie électrique provenant d'une source de combustible nucléaire. L'auteur croit que c'est le devoir de la philosophie politique-économique de pourvoir les principes de base sur lesquels les hommes d'affaires puissent rechercher et trouver un appui solide.La préoccupation majeure de l'auteur, dans cet article, est de découvrir plutôt que de forger un principe qui s'accorde avec la tradition libérale, et qui soit toutefois à même d'expliquer et de justifier une partie des actions positives en mesure d'être entreprises consciencieusement en vue d'élargir la zone de la liberté individuelle. Ausgehend vom Gebrauch des Begriffs « Intervention » bei L. Mises, H. Sennholz, H.Hazlitt, F. Machlup, P. Greaves u. a., schlägt der V. eine neue Definition des Begriffs vor: er soll demnach einen Eingriff von Seiten des Staates im Bereich der Wirtschaft bedeuten mit dem Ziel
ISSN:0032-325X
2239-611X