PRAXITELES, THE SAUROCTONUS, AND THE ROMAN GEM CUTTER

Auf griechischen und römischen geschnittenen Steinen wurden selten bekannte Werke aus anderen Gattungen, wie etwa der Skulptur, abgebildet. Eine der bemerkenswerten Ausnahmen ist der Sauroktonos des Praxiteles, der auf einer Anzahl von kaiserzeitlichen Gemmen erscheint. Es waren denn auch diese Darstellungen, die es J. J. Winckelmann und anderen erlaubten, in den wohlbekannten Repliken Borghese und Albani das verlorene Meisterwerk des Praxiteles zu erkennen, das ihnen nur durch Plinius und Martial vertraut war. Einige aus Grabungszusammenhang stammende Gemmen sowie Münztypen mit demselben Thema belegen, dass der Sauroktonos sich im römischen Reich im 1. und 2. Jahrhundert n. Chr. einiger Beliebtheit erfreute. Die Tatsache, dass er als einziges von Praxiteles' Werken auf diese Weise überlebte, spricht für die ursprüngliche Bedeutung der Statue sowie für deren Popularität bei den römischen Eliten. En Grèce et à Rome, il était rare que les pierres gravées reproduisent des œuvres célèbres appartenant à d'autres domaines artistiques, comme la sculpture par exemple. Apparaissant sur un certain nombre d'intailles de l'époque romaine, l'Apollon Sauroctone de Praxitèle est une notable exception à cette règle. Les gemmes permirent en effet à Winckelmann et d'autres de reconnaître le chef d'œuvre perdu de Praxitèle, qui ne leur était connu que par Pline et Martial, dans les répliques bien connues, dites Borghese et Albani. Les indices fournis par les exemplaires romains trouvés dans les fouilles et la présence du type dans le monnayage romain suggèrent que le Sauroctone jouissait d'une certaine popularité dans le monde romain aux Ier et IIe siècles ap. J.-C. Le fait qu'il ait été la seule œuvre de Praxitèle reproduite s'explique peut-être par le sens originel du type et par sa popularité auprès des élites romaines.