La Pisanelle de Gabriele d’Annunzio et le mirage orientaliste
RésuméLa Belle Époque touche à sa fin. Le 13 juin 1913 est créée au théâtre du Châtelet à Paris une œuvre rutilante et hybride : la pisanelle ou la mort parfumée, texte français du dramaturge italien Gabriele d’Annunzio. La participation russe est prépondérante : Lev Bakst pour le décor, Ida Rubinst...
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Veröffentlicht in: | Cahiers du monde russe 2007, Vol.48 (1), p.87-108 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | RésuméLa Belle Époque touche à sa fin. Le 13 juin 1913 est créée au théâtre du Châtelet à Paris une œuvre rutilante et hybride : la pisanelle ou la mort parfumée, texte français du dramaturge italien Gabriele d’Annunzio. La participation russe est prépondérante : Lev Bakst pour le décor, Ida Rubinstein dans le rôle principal, Vsevolod Meyerhold pour la mise en scène. La richissime actrice est la commanditaire du spectacle dont la chaude volupté répond à ses vœux. D’Annunzio a voulu dans cette œuvre faire se mesurer latinité et orientalisme. Les circonstances qui ont procédé à la création de la pièce dans l’atmosphère survoltée d’une vie artistique dominée par les Ballets Russes font l’objet de cet article. |
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ISSN: | 1252-6576 1777-5388 |
DOI: | 10.4000/monderusse.8986 |