Further Studies of the Positive Visual After-image

The binocular matching technique, in which the sensation of brightness of an after-image formed in one eye only is balanced by a comparison light stimulus in the other eye, has been used for further studies of the positive after-image. By dark-adapting each eye in turn, it is shown that the cone receptors in the retina are mainly responsible for the after-image, whereas the matching stimulus acts mainly on the rods. The decay curves of the after-image in white light for two observers are given, with a discussion of the region in which after-image effects follow a reciprocity law. The after-images formed by monochromatic stimuli give exponential decay curves, compared with power-law decay curves for white light stimuli. It is suggested that the origin of positive after-images may be the electrotonic polarisation of the axons of the ganglion cells. La technique de fusionnement binoculaire dans laquelle la sensation de brillance d'une « image consécutive » formée dans un œil est compensée par un stimulus lumineux de comparaison dans l'autre œil a été utilisée pour une étude plus poussée des images consécutives positives. En adaptant à tour de rôle chaque œil à l'obscurité, on montre que les cônes sont essentiellement responsables de l'image consécutive alors que le stimulus de comparaison agit principalement sur les bâtonnets. Les courbes d'affaiblissement de l'image consécutive en lumière blanche sont données pour deux observateurs avec étude de la région où les effets d'image consécutive obéissent à une loi de réciprocité. Les images consécutives formées par des stimuli monochromatiques donnent des courbes d'affaiblissement exponentielles, comparées aux courbes d'affaiblissement « power-law » pour des stimuli en lumière blanche. Il semble que l'origine d'une image consécutive positive soil due à la polarisation électrolonique des axones des cellules ganglionaires. Bei der binokularen Vergleichsmethode wird die Helligkeitsempfindung eines Nachbildes, das nur in einem Auge entsteht, verglichen mit einem Lichtreiz, der dem anderen Auge dargeboten wird. Auf diese Weise lässt sich das positive Nachbild untersuchen. In dem dunkeladaptierten Auge sind es hauptsächlich die Zapfen, die auf der Netzhaut für das Nachbild verantwortlich sind, während der Vergleichsreiz in erster Linie auf die Stäbchen wirkt. Die Kurve des Helligkeitsabfalles für das Nachbild im weissen Licht zeigt bei beiden Beobachtern ein Gebiet, in dem das Nachbild einem Reziprozitätsgesetz folgt. D