Molti amici molto onore. De l’avantage d’être consul d’Albanie sous l’Italie fasciste (1922-1939)
Qu’est-ce qui peut pousser des citoyens italiens à choisir de devenir des consuls d’Albanie dans l’entre-deux-guerres ? L’Albanie est en effet une nation jeune mais pauvre, qui se trouve peu à peu satellisée par l’Italie fasciste. Elle développe un réseau consulaire qui vise surtout à administrer sa...
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Veröffentlicht in: | Cahiers de la Méditerranée 2019-07 (98), p.159-177 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Qu’est-ce qui peut pousser des citoyens italiens à choisir de devenir des consuls d’Albanie dans l’entre-deux-guerres ? L’Albanie est en effet une nation jeune mais pauvre, qui se trouve peu à peu satellisée par l’Italie fasciste. Elle développe un réseau consulaire qui vise surtout à administrer sa diaspora. En Italie, elle n’entretient qu’un consulat général, à Bari. Tous les autres postes sont honoraires. Pour les quelques fonctionnaires albanais, un poste en Italie offre un confort évident. Pour les citoyens italiens qui se font consuls honoraires, il s’agit surtout d’obtenir des gratifications symboliques, même si quelques-uns escomptent des retombées matérielles : Antonio Baldacci, un savant spécialiste de l’Albanie, est de ceux-là. |
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ISSN: | 0395-9317 1773-0201 |
DOI: | 10.4000/cdlm.11497 |