Hand stencils and communal history: A case study from Auwim, East Sepik, Papua New Guinea

ABSTRACT Hand stencils directly represent modern humans in landscape settings around the world. Yet their social and cultural contexts are often overlooked due to the lack of ethnography associated with the artwork. This paper explores the hand stencils from Kundumbue and Pundimbung rock art sites,...

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Veröffentlicht in:Archaeology in Oceania 2023-04, Vol.58 (1), p.115-130
Hauptverfasser: Tsang, Roxanne, Katuk, Sebastien, May, Sally K., Taçon, Paul S.C., Ricaut, François‐Xavier, Leavesley, Matthew G.
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:ABSTRACT Hand stencils directly represent modern humans in landscape settings around the world. Yet their social and cultural contexts are often overlooked due to the lack of ethnography associated with the artwork. This paper explores the hand stencils from Kundumbue and Pundimbung rock art sites, situated in the traditional boundaries of the Auwim people in the East Sepik Province of Papua New Guinea. Combining archaeological rock art analysis with ethnographic knowledge, we demonstrate that the hand stencils are a priority in each clan's place‐making practices, around which they construct the community's social narratives. Rock shelters and their rock art also show a form of communal history that is evoked through their production in contemporary settings, in addition to having been a form of esoteric magic in the past. We conclude that hand stencils can have multiple meanings over time and across space as a widespread cultural marker. However, aspects of the identities of individuals, groups and communities who created the now static hand imagery, remain in place. RÉSUMÉ Les mains negatives représentent directement les hommes modernes dans leur environnement, et ceci à travers le monde. Cependant le contexte social et culturel leur étant associé est souvent négligé de par l'absence de données ethnographiques liées à ces oeuvres picturales. Cet article étudie les mains negatives des sites d'art rupestre de Kundumbue et Pundimbung, situés sur le territoire traditionel des habitants du village d'Auwim dans la région de l'Est Sepik en Papouasie Nouvelle Guinée. En combinant des analyses archéologiques en art rupestre avec la savoir éthnographie, nous démontrons que les mains negatives sont une priorité dans l'espace de création de chaque clan, autour de laquelle sont construit les récits actuels de la vie sociale de la communauté. Les abris rocheux et leurs peintures rupestres témoignent aussi d'une forme d'histoire de la communauté qui est évoquée à travers leur production dans le context actuel, en plus d'avoir été dans le passé une forme de magie ésotérique. Nous concluons que les mains negatives peuvent avoir de multiples significations à travers le temps et l'espace comme marqueur culturel trés répandue. Cependant, les caractéristiques de l'identité des individus, groupes et communautés qui ont créé l'imagerie des mains, maintenant figée, à travers leurs activités rituelles ou ordinaires, est toujours présentes.
ISSN:0728-4896
1834-4453
DOI:10.1002/arco.5287