Être adolescent et porteur d’un handicap cognitif : quels composants pour un bonheur scolaire ?
Les dernières avancées en neuropsychologie montrent qu’il ne faut plus dissocier le cheminement intellectuel des émotions. Hochmann (2012) mentionne la nécessité de prélever des informations d’ordre émotionnel afin de pouvoir penser à des actions adéquates. Cependant, aucune étude, à notre connaissa...
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Veröffentlicht in: | Tréma 2019-09 (52) |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Les dernières avancées en neuropsychologie montrent qu’il ne faut plus dissocier le cheminement intellectuel des émotions. Hochmann (2012) mentionne la nécessité de prélever des informations d’ordre émotionnel afin de pouvoir penser à des actions adéquates. Cependant, aucune étude, à notre connaissance, n’a donné la parole aux principaux intéressés, les élèves. Sur la base d’un questionnement éthique, cette recherche étudie le handicap, précisément à travers le regard, les éprouvés de jeunes porteurs d’un handicap cognitif, âgés de 15 ans à 18 ans, dans leur parcours de formation, leur(s) accès aux savoirs et à la qualification. Cette étude prend la forme d’une étude multi-cas en France. 20 élèves y participent. Ils sont scolarisés en école dite « ordinaire », en unité locale d’inclusion scolaire (ULIS) et en institut médico éducatif (IME). Nos premiers entretiens ont mis en évidence que 14 adolescents interrogés admettent être heureux. Les autres sont plus partagés. Mais que faudrait-il faire pour qu’ils puissent tous l’être alors que de nombreuses actions sont menées ? |
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ISSN: | 1167-315X 2107-0997 2107-0997 |
DOI: | 10.4000/trema.5478 |