La réception des accords d’association en Géorgie, Moldavie et Ukraine
Le 27 juin 2014, la Géorgie, la Moldavie et l’Ukraine signaient des accords d’associationavec l’Union européenne, assortis d’accords de libre-échange complet et approfondi (Aleca*).La conclusion de ces accords, quelques mois seulement après l’annexion de la Crimée parla Russie et les débuts du confl...
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Veröffentlicht in: | Les Études du CERI 2017-01 (228-229), p.19-24 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le 27 juin 2014, la Géorgie, la Moldavie et l’Ukraine signaient des accords d’associationavec l’Union européenne, assortis d’accords de libre-échange complet et approfondi (Aleca*).La conclusion de ces accords, quelques mois seulement après l’annexion de la Crimée parla Russie et les débuts du conflit dans le Donbass, semblait sceller la division du Partenariatoriental en deux groupes, le premier constitué des trois pays désireux de s’engager sur lavoie d’une intégration approfondie dans l’UE, le deuxième regroupant des Etats membresde ce qui est devenu le 1er janvier 2015 l’UEE (Biélorussie, Arménie), ou souhaitant conserverune politique étrangère indépendante (Azerbaïdjan).Si cette vision dichotomique du Partenariat oriental reflète la différenciation récente desrelations contractuelles entre l’UE et ses six partenaires orientaux, elle néglige la complexitéde la réception des politiques européennes au sein des Etats voisins. Les accords d’associationsuscitent en effet au sein des populations du premier groupe des réactions différenciées etsouvent contrastées, qui sont susceptibles d’influencer la mise en oeuvre des accords. |
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ISSN: | 1297-8450 |