Le niveau de compréhension de l’anglais des étudiants en médecine peut être amélioré. Résultats d’une stratégie d’évaluation systématique

To describe the level of English of a population of medical students and the improvement after the implementation of systematic assessment that all students achieve a minimal level. For the past 5 years, all medical students in our medical school have been taking the Test of English for Internationa...

Ausführliche Beschreibung

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Veröffentlicht in:La Presse médicale (1983) 2011, Vol.40 (10), p.e471-e476
Hauptverfasser: Lebrun, Léa, Fisbach, Martine, Febvre, Jérôme, Joly-Guillou, Marie-Laure, Saint-André, Jean-Paul, Richard, Isabelle
Format: Artikel
Sprache:fre
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Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:To describe the level of English of a population of medical students and the improvement after the implementation of systematic assessment that all students achieve a minimal level. For the past 5 years, all medical students in our medical school have been taking the Test of English for International Communication (TOEIC). The baseline population (students entering second year in 2004) had no specific obligation. After 2004, a score above 600 was mandatory for graduation. Teaching was oriented towards training for the TOEIC and the number of hours was more important for low-level students. The mean score has increased from 618 ± 146 in 2004, to 687 ± 94, 717 ± 97, 733 ± 96 and 731 ± 104 for the next four years. The proportion of students who do not achieve a score of 550 (B1 level of the European framework) has decreased from 30 to 0%. Improving the level of English of French medical students is possible, if this is made a priority. The objective, as set in engineering studies, that all medical students reach a B2 level would require national guidelines. Décrire le niveau de compréhension de l’anglais d’une population d’étudiants en médecine et son amélioration avec la mise en place d’une stratégie d’évaluation systématique avec l’exigence d’un niveau minimal. Cinq promotions successives d’étudiants en médecine ont passé le Test of English for International Communication (TOEIC). La première promotion n’avait pas d’exigence de réussite. Pour les promotions successives, un score minimal de 600 était exigé pour la validation du deuxième cycle. Un enseignement centré sur la préparation du test était organisé avec un nombre d’heures plus important pour les étudiants les plus faibles. Le niveau moyen obtenu progressait de 618 ± 146 pour la promotion ayant débuté son PCEM2 en 2004, à 687 ± 94, 717 ± 97, 733 ± 96 et 731 ± 104 pour les quatre années suivantes. Le taux d’étudiants n’atteignant pas le score de 550 (niveau B1 du cadre européen) passait de 30 % à zéro et le nombre d’étudiants de niveau B2 de 14 à 30 %. L’amélioration du niveau d’anglais des étudiants en médecine est possible, si la volonté politique est présente. Atteindre, comme pour les formations d’ingénieur, un niveau B2 pour tous les étudiants nécessiterait des recommandations nationales.
ISSN:0755-4982
2213-0276
DOI:10.1016/j.lpm.2011.04.009