Coprésences, conflits, complémentarités dans les usages des lieux par les touristes et les habitants

The uses of places are linked to increasingly massive and complex mobilities which are part of multi-faceted temporalities and experiential research, in a context of growing porosity between tourist and non-tourist spaces (Gravari-Barbas and Delaplace 2015). These mobilities and complexified practic...

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Veröffentlicht in:Téoros 2020, Vol.39 (1)
Hauptverfasser: Achaba, Allal, Baron, Nacima, Ben Yedder, Moez, Bourbillères, Hugo, Charrier, Dominique, Chevalier, Paolo, Clos, Clémence, Delaplace, Marie, Del Valle, Eduardo, de la Ballina, Francisco Javier, El Boukhari, Abdelouahab, Évrard, Barbara, Gautherat, Emmanuelle, Guillemard, Alexis, Hasan, Ali, Huerta-Nunez, Adriana, Jeanmougin, Hélène, Jouault, Samuel, Kebir, Leïla, Levet-Labry, Eric, López-Gay, Antonio, Módenes, Juan A, Montañez Giustinianovic, Alejandro, Oumlil, Rachid, Philippe, Marion, Sales-Favà, Joan, Schut, Pierre-Olaf, Valdés, Luis, Xool Koh, Manuel, Zrelli, Imen
Format: Artikel
Sprache:fre
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Beschreibung
Zusammenfassung:The uses of places are linked to increasingly massive and complex mobilities which are part of multi-faceted temporalities and experiential research, in a context of growing porosity between tourist and non-tourist spaces (Gravari-Barbas and Delaplace 2015). These mobilities and complexified practices also contribute to blurring the contours of established statistical categories. Apart from residents, tourists, and excursionists, other forms of "temporary presents" intersect, meet, link, complement, ignore one another, or conflict in these places, which can be shared in a temporal manner (Ouellet, 2019) or be places of more or less peaceful cohabitation. Les usages des lieux sont liés à des mobilités de plus en plus massives et complexes qui s’inscrivent dans des temporalités et des recherches expérientielles plurielles, et ce, dans un contexte de porosité croissante entre espaces touristiques et espaces non touristiques (Gravari-Barbas et Delaplace 2015). Ces mobilités et ces pratiques complexifiées contribuent également à flouter les contours de catégories statistiques établies. Outre les résidents, les touristes et les excursionnistes, d’autres formes de « présents temporaires » se croisent, se rencontrent, se lient, se complètent, s’ignorent ou entrent en conflit dans ces lieux, qui peuvent être partagés de façon temporelle (Ouellet, 2019) ou être des lieux de cohabitation plus ou moins apaisée.
ISSN:0712-8657
1923-2705
DOI:10.7202/1074086ar