La théorie de l’enquête : relier les pôles épistémè et praxis de l’activité
En tant que discipline de sciences humaines et sociales qui étudie des champs de pratiques, les sciences de l’éducation et de la formation se sont longtemps heurtées à la difficulté qui consiste à rendre compte des positionnements différents entre recherche et action dans ces domaines. Un modèle vis...
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Veröffentlicht in: | Recherche & formation (Lyon, France) France), 2019, Vol.92 (3), p.39-56 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | En tant que discipline de sciences humaines et sociales qui étudie des champs de pratiques, les sciences de l’éducation et de la formation se sont longtemps heurtées à la difficulté qui consiste à rendre compte des positionnements différents entre recherche et action dans ces domaines. Un modèle visant à dépasser d’anciennes dichotomies (théorie/action ; chercheurs/praticiens ; etc.) positionne l’ enquête comme l’un des processus majeurs qui relie les deux pôles structurant la tension entre épistémè (pôle de l’élaboration d’une connaissance méthodique à propos du monde) et praxis (pôle de l’engagement dans la transformation du monde). Après une brève présentation de ce modèle, l’article vise à questionner ce en quoi la théorie de l’enquête de John Dewey constitue une option épistémique permettant de relier des pôles habituellement considérés différents, voire opposés. |
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ISSN: | 0988-1824 1968-3936 |
DOI: | 10.4000/rechercheformation.5651 |