Quel est le score échographique des glandes salivaires le plus efficace pour diagnostiquer un syndrome de Gougerot-Sjögren primitif ou secondaire ?

Évaluer la performance de l’échographie des glandes salivaires pour le diagnostic du syndrome de Gougerot-Sjögren primitif (SGSp) ou secondaire (SGSs). Étude transversale multicentrique sur 97 patients présentant un syndrome sec clinique. Le SGSp (n=39) et le SGSs (n=22) remplissaient les critères d...

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Veröffentlicht in:Revue du rhumatisme (Ed. française : 1993) 2020-01, Vol.87 (1), p.35-42
Hauptverfasser: Martel, Amélie, Coiffier, Guillaume, Bleuzen, Aurore, Goasguen, Jean, de Bandt, Michel, Deligny, Christophe, Magnant, Julie, Ferreira, Nicole, Diot, Elisabeth, Perdriger, Aleth, Maillot, François
Format: Artikel
Sprache:fre
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Zusammenfassung:Évaluer la performance de l’échographie des glandes salivaires pour le diagnostic du syndrome de Gougerot-Sjögren primitif (SGSp) ou secondaire (SGSs). Étude transversale multicentrique sur 97 patients présentant un syndrome sec clinique. Le SGSp (n=39) et le SGSs (n=22) remplissaient les critères de classification du groupe de consensus américano-européen (AECG, American-European Consensus Group). Les témoins (n=36) étaient des patients présentant un syndrome sec mais ne remplissant pas les critères de l’AECG. L’échostructure des quatre glandes salivaires principales a été évaluée selon quatre méthodes : le score de Salaffi (0–16), le score de Jousse-Joulin (0–4), le score de Hocevar (0–48) et le score de Milic (0–12). Les résultats médians des scores échographiques étaient plus élevés dans les groupes SGSp et SGSs que chez les témoins (p
ISSN:1169-8330
DOI:10.1016/j.rhum.2019.09.016