Identifier et enregistrer des vestiges archéologiques sous couvert forestier à partir de données LiDAR : méthode et limites
Depuis plus de dix ans, des recherches sur les ensembles de structures en pierre sous forêt sont menées dans la forêt du Châtillonnais (Côte-d’Or, France). Les prospections réalisées jusqu’à ce jour consistaient en un relevé GNSS systématique des structures. Ces prospections ont été complétées en 20...
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Veröffentlicht in: | Archéosciences 2019-02, Vol.42 (2), p.31-43 |
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Hauptverfasser: | , , , , , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Depuis plus de dix ans, des recherches sur les ensembles de structures en pierre sous forêt sont menées dans la forêt du Châtillonnais (Côte-d’Or, France). Les prospections réalisées jusqu’à ce jour consistaient en un relevé GNSS systématique des structures. Ces prospections ont été complétées en 2012 par une acquisition LiDAR sur 400 km² réalisée par Parcs Nationaux de France (PNF). Cet article a pour objectif de présenter la démarche développée au sein du projet, pour traiter et enregistrer les données archéologiques détectées par le LiDAR. L’enjeu de celle-ci est d’harmoniser la saisie et les modalités d’enregistrement des structures identifiées (à partir des jeux d’images dérivées des données LiDAR) par les différents chercheurs. Pour la mise en place de cette méthode, un test de vectorisation a été réalisé sur un même secteur par huit chercheurs afin d’identifier les biais de vectorisation puis de proposer un processus méthodologique associant les indices de visualisation utilisés, la nature des vestiges à détecter et leur implantation topographique et des techniques d’enregistrement (base de données spatiales, outils de vectorisation, etc.) connectées aux méthodes de relevés de terrain. |
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ISSN: | 1960-1360 2104-3728 |
DOI: | 10.4000/archeosciences.5727 |