La présence sur le terrain est-elle toujours nécessaire en géoscience ?: Exemple des programmes d'hydro-glaciologie au Spitsberg (79°N)
Résumé À l’heure de l’abondance en matière d’images satellite, à l’heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l’heure de la transmission automatique des données et d’un développement d’une très haute technologie impensable il y a quelques années, est-il encore néce...
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Veröffentlicht in: | L'Information géographique 2010-03, Vol.74 (1), p.27-39 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Résumé À l’heure de l’abondance en matière d’images satellite, à l’heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l’heure de la transmission automatique des données et d’un développement d’une très haute technologie impensable il y a quelques années, est-il encore nécessaire pour un scientifique d’être présent sur le terrain ? C’est ce à quoi va tenter de répondre cet article, fondé sur une expérience personnelle longue en milieu polaire (Spitsberg). Si terrain il y a, la façon de l’aborder a forcément évolué avec les progrès techniques et la vie du scientifique en Arctique a donc changé aussi, même si le vieil adage inuit reste d’actualité : «En Arctique le temps (météo) et la glace décident.» |
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ISSN: | 0020-0093 1777-5876 |
DOI: | 10.3917/lig.741.0027 |