La consommation d’algues peut-elle conduire à un excès d’apport en iode ?
La consommation d’algues, bien qu’encore peu développée en France, semble attirer de nouveaux consommateurs. Que ce soit à travers l’offre de restauration asiatique ou par celle des compléments alimentaires, elle constitue une source supplémentaire d’iode encore mal caractérisée. Dans certaines situ...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Cahiers de nutrition et de diététique 2021-08, Vol.56 (4), p.220-225 |
---|---|
Hauptverfasser: | , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | La consommation d’algues, bien qu’encore peu développée en France, semble attirer de nouveaux consommateurs. Que ce soit à travers l’offre de restauration asiatique ou par celle des compléments alimentaires, elle constitue une source supplémentaire d’iode encore mal caractérisée. Dans certaines situations, une consommation excessive peut conduire au dépassement de la limite supérieure de sécurité de 600μg/j et occasionner des troubles thyroïdiens. Le présent article vise à faire un point sur les connaissances actuelles et apporter quelques conseils aux consommateurs d’algues.
Seaweed consumption, although not yet widespread in France, seems to attract new consumers. Whether through Asian food or food supplements, it constitutes an additional source of iodine which is still insufficiently characterised. Under certain circumstances, a high consumption may exceed the upper limit of 600μg/day and induce thyroid dysfunction. The purpose of this article is to review the current knowledge and to provide advice to seaweed consumers. |
---|---|
ISSN: | 0007-9960 |
DOI: | 10.1016/j.cnd.2021.04.003 |